Les Debuts de la Presse dans l'Empire Ottoman : ;Le Spectateur Oriental (1821-1827)

Stok Kodu:
9786257900690
Boyut:
135-210-
Sayfa Sayısı:
197
Baskı:
1
Basım Tarihi:
2022-05-31
Kapak Türü:
Karton
Kağıt Türü:
Kitap Kağıdı
Dili:
Türkçe
37,66
9786257900690
721691
Les Debuts de la Presse dans l'Empire Ottoman : ;Le Spectateur Oriental (1821-1827)
Les Debuts de la Presse dans l'Empire Ottoman : ;Le Spectateur Oriental (1821-1827)
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Le Spectateur Oriental de Smyrne (Izmir) a été le premier journal publié dans l'Empire ottoman en 1821. Or de nombreuses sources font débuter la presse à Smyrne avec le Smyrnéen en 1824. Ceci s'explique par le fait que très peu d'exemplaires de ce journal ont survécu à ce jour. Le Spectateur Oriental a été publié entre 1821 et 1827 (excepté les quelques mois où il a été remplacé par le Smyrnéen) et a changé de nom en début 1828 pour devenir le Courrier de Smyrne. A cette date il n'y avait encore aucun journal publié à Constantinople, la capitale de l'Empire ottoman. C'est à travers cette presse étrangère que nous découvrons le Spectateur Oriental. Des dizaines de journaux, principalement francophones allant du Courrier de Gand à l'Écho du Midi de Toulouse citent le Spectateur Oriental, reproduisent ses articles, le critiquent et quelquefois approuvent ses points de vue. Le Spectateur Oriental est aussi un témoin irréfutable de l'importance de la francophonie dans cette partie du globe. Les joutes perpétuelles qui opposent le Spectateur Oriental, à son rival l'Abeille Grecque, installée sur la côte opposée de la mer Égée, se font dans la langue de Molière, et avec une fluidité et une finesse qui surprend encore de nos jours.
Le Spectateur Oriental de Smyrne (Izmir) a été le premier journal publié dans l'Empire ottoman en 1821. Or de nombreuses sources font débuter la presse à Smyrne avec le Smyrnéen en 1824. Ceci s'explique par le fait que très peu d'exemplaires de ce journal ont survécu à ce jour. Le Spectateur Oriental a été publié entre 1821 et 1827 (excepté les quelques mois où il a été remplacé par le Smyrnéen) et a changé de nom en début 1828 pour devenir le Courrier de Smyrne. A cette date il n'y avait encore aucun journal publié à Constantinople, la capitale de l'Empire ottoman. C'est à travers cette presse étrangère que nous découvrons le Spectateur Oriental. Des dizaines de journaux, principalement francophones allant du Courrier de Gand à l'Écho du Midi de Toulouse citent le Spectateur Oriental, reproduisent ses articles, le critiquent et quelquefois approuvent ses points de vue. Le Spectateur Oriental est aussi un témoin irréfutable de l'importance de la francophonie dans cette partie du globe. Les joutes perpétuelles qui opposent le Spectateur Oriental, à son rival l'Abeille Grecque, installée sur la côte opposée de la mer Égée, se font dans la langue de Molière, et avec une fluidité et une finesse qui surprend encore de nos jours.
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